dimanche 22 novembre 2015

Que peut faire l'homéopathie pour mon enfant?

CEPRASi vous lisez ces premières lignes, c'est que vous faites partie de ces gens ouverts d'esprit qui cherchent des solutions naturelles aux problèmes de santé de leur enfant tels que la dyslexie, le déficit de l'attention, le trouble de l'opposition, les difficultés de concentration, l'insomnie, l'énurésie, l'encoprésie, l'asthme, les bronchites à répétition, les poussées dentaires douloureuses, les difficultés scolaires et bien d'autres malaises.

Si cela est un plaisir de discréditer l'homéopathie au Québec, ce n'est pas du tout le cas en Europe où bon nombre de médecins sont également homéopathes et connaissent un très bon succès. Évidemment, il faut une bonne anamnèse lors de l'entrevue initiale afin de bien déceler les mots non dits, la perception des parents vs celle de l'enfant et l'importance qu'ils accordent à certaines réponses. Selon les caractéristiques de chaque enfant, les produits homéopathiques utilisés pour un symptôme sont très souvent différents chez l'un et l'autre car ils doivent correspondre aux caractéristiques psychiques et physiques de l'individu.

À la clinique, les parents consultent pour différentes raisons: comportement difficile, difficultés scolaires, énurésie, anxiété, etc. Voyons plus concrètement deux cas qui ont récemment consulté.


1er CAS: Daniel, 9 ans (nom fictif)

Problématiques vécues:
- énurésie diurne et nocturne
- exhibitionniste (baisse ses culottes et aime se promener nu)
- grandes difficultés scolaires (logique)
- TDA/H
 
Suite à l'anamnèse avec la mère, en février 2015, je recommande 3 produits homéopathiques (Carve indica, Baryta Carb. et Hyoscyamus). En septembre dernier, la mère m'informe que l'énurésie est complètement disparue. Une seule épisode s'est produite au cours de l'été.
 
Elle revient à la clinique pour un 2e bilan en novembre 2015. Daniel n'a plus d'épisodes d'énurésie et la mère n'a plus à le réveiller chaque soir, un peu avant minuit. À sa grande surprise, elle constate que son fils est maintenant capable de demeurer plus longtemps concentré pendant la période des leçons à la maison et qu'il ne présente plus autant d'exhibition qu'avant.
 
Suite à d'autres observations, deux autres produits lui ont été recommandés afin de diminuer son agitation, son opposition, ses hésitations (langage oral) et son eczéma. Il reviendra dans 3 mois.
 
La mère me dit être très surprise et contente des premiers résultats. Elle compte d'ailleurs revenir aussi avec son fils aîné atteint d'un trouble de comportement très difficile à gérer.


2e CAS: Alain, 7 ans (nom fictif)

Alain défèque, chaque jour, dans ses culottes à la fin des classes. Le problème a débuté à l'école au printemps dernier. Chaque fois, il doit se changer car il est souillé ou malodorant. Cette situation est disparue aussitôt l'arrivée des vacances d'été. Mais voilà qu'au premier jour de l'entrée scolaire la problématique est recommencée. La maman vient donc me consulter désespérée.
 
Il apparaissait évident que cet enfant subissait un stress ou une anxiété face à l'école. Je lui recommande donc Gelsemium à prendre au coucher et le matin. Par ailleurs, son côté hypersensible, agressif, opposant et son goût marqué pour les vêtements noirs me dirigea vers Sepia.
 
Après 2 semaines, il n'a plus souillé ses vêtements. Nous examinerons donc les autres comportements lors du prochain bilan.
 
 
Je lis fréquemment des histoires vécues par des parents désespérés par le comportement opposant ou agité de leur enfant, par les difficultés scolaires ou langagières et chaque fois, je me dis que je dois faire connaître davantage les bienfaits de l'homéopathie, d'autant plus que cela est très peu coûteux, sans danger et accessibles à tous.
 
Voilà pourquoi je vous ai rédigé cette chronique aujourd'hui. En espérant avoir piqué votre curiosité. N'hésitez pas à nous contacter à la clinique, si après cette lecture, des questions demeurent.

jeudi 29 octobre 2015

Quand faut-il consulter en orthopédagogie?

Votre enfant entre en 1re année et il commence ses premiers pas en lecture, en écriture et en calcul. Il apprend d'abord les sons des lettres et ensuite, les sons complexes (eau, oi, in...). Il fusionne une consonne avec une voyelle et vice et versa. Et puis, vient rapidement la lecture des mots. Noël n'est pas encore arrivé et il lit maintenant des phrases et en écrit aussi. Comme parents, nous sommes si fiers!
 
Dans la classe, 4 à 6 enfants ralentissent le pas. Ils se sont arrêtés aux sons qui peine à se souvenir. C'est ardu! Les leçons, à la maison, sont interminables! Le plaisir d'apprendre s'estompe graduellement, laissant place au désintérêt total pour la lecture.
 
À ce stade, il est plus que temps d'agir et consulter. L'estime de soi de l'enfant commence à être atteinte. Il risque aussi de perdre confiance en son potentiel.
 
Je reçois souvent des élèves de 3e année chez lesquels on soupçonne une dyslexie. Ils ont reçu de l'aide individuelle de leur enseignant(e), de l'orthopédagogue sans compter celle des parents. Et pourtant... Leurs difficultés persistent et les résultats scolaires se situent à la limite de la réussite. Les parents ne savent plus quoi faire et certains enfants n'ont plus accès à l'aide orthopédagogique scolaire car il y a des cas plus prioritaires.
 
Lorsque je reçois ces enfants, je me rends compte très souvent qu'ils éprouvent un trouble de perception visuelle. À la clinique, nous optons pour un bon dépistage des troubles avant de proposer une évaluation exhaustive. Nous cherchons d'abord d'où proviennent les difficultés ou les troubles vécues. Nous nous attardons à la personnalité de l'enfant afin de percevoir ses forces. C'est à partir de ses points forts qu'il devient possible de le faire évoluer et réussir.
 
Dans un monde idéal, il faudrait 3 à 4 rencontres par semaine durant 12 à 15 semaines pour réaliser un bon plan de rééducation. Puisqu'il est rare de pouvoir procéder ainsi, nous rencontrons une fois par semaine les enfants et nous outillons les parents afin qu'ils puissent poursuivre le travail à la maison. Cela exige une discipline, mais c'est gagnant au bout du compte!
 
Les parents doivent accepter que leur enfant puisse se retrouver en échec. Le temps de rééducation est souvent long car il est rare qu'un élève éprouve seulement qu'une seule difficulté. Quand on reçoit un enfant à la clinique, il y a tellement d'objectifs à voir qu'il nous faut en sacrifier quelques-uns au dépend de ceux qu'on juge plus pertinents. D'autres fois, le retard est tellement grand, qu'il faut retourner 2 ans en arrière afin de faire consolider les apprentissages antérieurs.

Alors quand consulter?
Dès qu'on perçoit des difficultés qui affectent notre enfant et qu'on ne peut parvenir, comme parent, à l'aider à les surmonter.

Types de difficultés:
- retard de lecture
- incompréhension des mots, des phrases ou des textes
- lecture saccadée, lente, monocorde
- écriture illisible (ne peut se relire)
- ne comprend pas le sens des nombres
- n'a pas de logique
- retard en mathématique
- se décourage, se démotive
- ne veut plus faire ses leçons et devoirs
- se sent un moins que rien, se dévalorise
- est triste lorsqu'il part pour l'école
- etc.

Pour des conseils, de l'information ou pour de l'aide, appelez-nous à la clinique. Ce sera un plaisir de vous rendre service!


CEPRA
www.facebook.com/cliniqueCEPRA
www.cepra.ca | 819-471-6100 | info@cepra.ca


Note: Vérifiez votre PAE (programme d'aide aux employés). Vous avez peut-être droit à une banque d'heures en orthopédagogie.

mardi 8 septembre 2015

Pourquoi opter pour le neurofeedback?

De plus en plus de parents cherchent des alternatives à la médication pour leur enfant atteint d'un TDA/H.

Bien que l'alimentation peut influencer sur l'excitabilité ou la fatigabilité des enfants, le soin de choisir des aliments sains ou des compléments alimentaires (ex: Oméga) n'est souvent pas suffisant en soi
.
 

Connu d'abord pour traiter l'épilepsie, le neurofeedback est favorisé par les parents pour le traitement du déficit de l'attention, de l'hyperactivité, de l'anxiété et des troubles de l'apprentissage. Les dernières études ont permis de comparer les effets du neurofeedback vs la médication prescrite telle que le Ritalin. Les résultats présentent les mêmes effets bénéfiques. Toutefois, le neurofeedback n'engendre pas les effets secondaires rencontrés fréquemment chez ceux qui sont médicamentés (ex: manque d'appétit, troubles du sommeil, état amorphe...) et ne nécessite pas, non plus, un abonnement régulier une fois le traitement terminé.

En optant pour des traitements en neurofeedback,
vous investissez dans l'avenir de votre enfant.
Vous lui faciliter des étapes importantes de sa vie
(l'école, le travail, les relations...).

Dans le cerveau des enfants atteints d'un TDA/H, leurs ondes thêta sont en trop grande activation. Cela les amène à orienter leur pensée ailleurs et partir dans la rêverie. On leur dira de se contrôler, de se concentrer, de faire des efforts, d'écouter son prof, etc. Ce contrôle est très difficile si on ne procède pas à un entrainement pour équilibrer l'activité électrique des ondes cérébrales du cerveau. 

Ces enfants éprouvent souvent des difficultés d'apprentissage, notamment dans la réalisation de problèmes en mathématique. Cela est dû, entre autre, aux ondes bêta qui ne sont pas assez activées. 

L'entraînement en neurofeedback permet d'inhiber les ondes cérébrales qui sont en trop grande activation et renforcer celles qui ne le sont pas assez. Cet entrainement s'échelonne sur environ 20 semaines à raison de 2x/semaine en ce qui concerne le TDA/H. Cela dépend de l'âge du patient et son évolution au cours de l'entraînement. 

Avant de débuter l'entraînement, un qEEG (électroencéphalo- gramme quantitatif) et un test de discrimination visuelle et auditive doivent être réalisés afin d'évaluer et d'acheminer le protocole du patient au thérapeute. Les parents reçoivent d'abord les résultats de leur enfant qui leur seront bien vulgarisés. À notre clinique, nous référons nos clients chez Neurodezign pour les évaluations. 
 
Pour de plus amples informations, n'hésitez pas à nous contacter au 819-471-6100 ou par courriel à info@cepra.ca.

vendredi 28 août 2015

Le neurofeedback au Centre-du-Québec

Depuis le printemps 2014, notre clinique a ajouté à ses services, le neurofeedback. Il s'agit d'une méthode d'entraînement cérébral qui permet de réguler l'activité des ondes cérébrales mises en cause dans certaines pathologies (ex: le TDA/H, l'autisme, la dépression...)


Implanté dans notre clinique à Drummondville, les gens de la région n'ont plus à voyager jusqu'à Montréal pour se rendre à leur rendez-vous bihebdomadaire. Cela réduit considérablement les coûts associés aux traitements. Dans un article paru dans le journal de Montréal récemment, on faisait mention qu'il en coûtait 5000$. Vrai ou faux? En fait, cela dépend des résultats de l'encéphalogramme (qEEG) et du tarif du thérapeute. Chez CEPRA, le coût régulier est de 75$ par séance. Toutefois, pour ceux qui débutent l'entraînement avant le 30 décembre 2015, pourront bénéficier d'un prix promotionnel à 60$ par séance.

Notre clinique réfère ses clients au Dre Johanne Lévesque et son équipe, chez Neurodezign, pour procéder à l'évaluation (qEEG et discriminations auditive et visuelle). Ces coûts peuvent être remboursés par l'assurance collective du client.

Depuis son implantation, CEPRA accueille des clients de diverses régions du Québec (Beauce, St-Léonard d'Aston, Odanak, Montréal et bien sûr, Drummondville et ses environs). Outre les services de neurofeedback, la clinique offre de l'orthopédagogie, des ateliers de stimulation du langage, des conseils et des suivis en psychoéducation.

Pour de plus amples informations, n'hésitez pas à passer nous voir ou nous contacter au 819-471-6100.